Il est temps…

Arthur, un gars du pays qui n’avait jamais vu Paris ni aucun coin d’ici, avait son jardin à lui...

dans la sphère des réseaux dits sociaux …

…

Les espoirs ont beau être en lambeaux envie de m’y accrocher coller des bribes …

j’ose approcher espérer encore faire le bien le faire mieux ...

y revenir ouvrir ses carnets comme on déplie un parchemin tourner au ralenti les pages de ses empreintes indélébiles retour vers des pans de mords la vie rejouer les passés et futurs les confier au présent ...

restes de vie, après une simple averse...

légitime…

mon doute de moi je n’écris rien d’autre que des mots dénichés au fond de mes poches du bout des lèvres des lettres d’un métier à tisser...

J’attache de la valeur à toute vie, toute chose, éphémère et fragile. Magnifier l'invisible et le vivre en poésie....

l’insignifiant…

les mains liées…

Il faut se méfier des mots…

Pissez sur musk Pisser droit sur lui lui renvoyer sa diagonale du salut nazi dans sa tronche

ce soir des étoiles d’acier se bousculent dans une maison blanche en désordre,

Par moment une main ramasse tous les espoirs..

Glisser vers 2025,  sans tenir la rampe  ou sans le vouloir ...

Elles et ils à ciel ouvert « Qu'est-ce que vous voulez?» À première vue On ne sait rien faire d’autre qu’écrire, j'aurais aimé entrer...

des mots accrochés les uns aux autres…