jour J~ en terre et mère francophones au printemps venu volets ouverts de ses ailes déployées pour s’aimer encore,

L’amour griffe la vitre, traverse l’invisible passage, la vie entière éblouie dans sa main. Hélène Dorion

n’oubliez jamais d’aimer,

partir d’une page blanche et retrouver petit à petit les cailloux semés en nombre identique d’un manifeste empenné de plumes de colibri…

des droits pour les unes des devoirs pour les uns de l’une à l’autre le compte n’y est pas des couches tenaces béton de la pensée …

se livrer à ciel ouvert entre les lignes …

prunier-cerise prunus cerasifera en latinus ;

le précieux en papier imprimé toucher l’être avec des mots …

je viens d’un pays de monts et par vaux pétillant et euphorique en y songeant …

livre bataille à lire entre toutes les mains …

soleil de lune ~ le temps d’un instant l’éternité voudrait~on …

souvent furtif toujours attendu..

s’attraper par le coeur les yeux fermés         pour mieux voir l’invisible attachement …

au souffle coupé par une nouvelle année sans illusion passons la digue des voeux en pas de suspension à chercher sur l’autre rive …

Il était uNe fois des couleurs d’hiver un soir d’automne …

défaire le monde en mode mineur de fond …

dessus dessous mécanique du geste frotter la peau comme on caresse les cordes de son violon …

le précieux dévide la pelote des fils de vie mêlés des photos en stock dans un foutoir de notifs fin des nouveaux messages menu principal

prendre la tangente le temps de réfléchir

tant de choses tant de rencontres tant de valises tant de soleil tant de portes tant de caresses tant d’amour